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L'histoire de LA FABRIQUE DE TULLES DE Grand-Couronne.

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Conférence-débat

Par Olivier Douard, sociologue, membre de la société d'Histoire de Grand-Couronne.

Le samedi 23 novembre à 15 h à la bibliothèque Boris Vian.

L'histoire de LA FABRIQUE DE TULLES DE Grand-Couronne.
L'histoire de LA FABRIQUE DE TULLES DE Grand-Couronne.
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Exposition du commerce à Grand-Couronne le 12 octobre 2024

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Au cours de cette journée du commerce notre société a présenté une exposition représentant des carnavals dans les rues de notre cité.

Exposition du commerce à Grand-Couronne le 12 octobre 2024
Exposition du commerce à Grand-Couronne le 12 octobre 2024
Exposition du commerce à Grand-Couronne le 12 octobre 2024
Exposition du commerce à Grand-Couronne le 12 octobre 2024
Exposition du commerce à Grand-Couronne le 12 octobre 2024
Exposition du commerce à Grand-Couronne le 12 octobre 2024
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Jusqu'au 21 septembre 2024 à la bibliothèque Boris Vian, la société d'histoire de Grand-Couronne présente 2 expositions sur la deuxième guerre mondiale dans notre cité. Ces photos vont vous donner une idées des panneaux exposés.

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24 juin 2024. 80 ème anniversaire du bombardement de la ville. 

 

 

 

30 Août 2024 80 ème anniversaire de la libération de Grand-Couronne.

 

Ces photos vous donne une idée des magnifiques panneaux que vous trouverez dans cette bibliothèque.

En remerciant la Ville pour  nous avoir permis de créer ces expositions.

 

Publié dans expositions

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Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.

Publié le par societe-histoire-grand-couronne.over-blog.fr

Cette exposition vous montre l'intérêt de prêter vous documents à notre société.

Nous vous en remercions.

 

Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
Exposition au salon des associations le 07/09/2024 à l'espace Michel Lamazouade, par la Société d'Histoire de Grand-Couronne.
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80ième anniversaire de la Libération.

Publié le par societe-histoire-grand-couronne.over-blog.fr

80ième anniversaire de la Libération.

A Grand Couronne nous commémorerons le Bombardement du 24 juin1944. Une exposition sera présentée en mairie à la date anniversaire par la Société d’histoire.

Nous faisons appel aux témoins et à leur famille. Nous cherchons des documents, des souvenirs, des récits, des objets, et des photos...

Nous cherchons plus particulièrement des photos de famille, d’avant-guerre ou des mois précédents, des victimes que nous souhaitons honorer.

Puis nous travaillerons sur les mois de juillet et août et la Libération de la ville par les Canadiens le 30 août 1944.

 Société d’Histoire de Grand-Couronne

36 rue Clémenceau

Espace Daniel Carmon – Place Aimé Césaire

Permanence le vendredi de 15h à 18h

stehistoire.grandcouronne@orange.fr

http://www.societe-histoire-grand-couronne.fr

02 35 67 93 34

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Parution du livre : Gustave Caille naturaliste et astronome du Coki - Petite chronique d'un début de siècle à Grand-Couronne

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Parution du livre :  Gustave Caille naturaliste et astronome du Coki - Petite chronique d'un début de siècle à Grand-Couronne

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Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne

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Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
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Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
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La maison de la Sente des Palis

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La maison de la Sente des Palis

La maison de la Sente des Palis

 

Cette maison, située 51 avenue du Général Leclerc a été occupée jusqu’à une époque récente par l’Institut médico-éducatif « Les Montées ». Depuis la construction du nouvel IME aux Essarts, elle est inhabitée et on ignore ce qu’elle deviendra. Or, cette propriété fait partie du patrimoine de Grand-Couronne, elle a une histoire.

Construite en 1861 par Madame Lefort, veuve de Louis Paul Lefort, propriétaire de la manufacture de tulles et dentelles, elle servit de logement à Edmond Laporte. Au décès de son mari en 1859, Madame Lefort (née Fizeaux de la Martel) le fait venir à Grand-Couronne pour diriger l’usine. Âgé de 27 ans, il devient son homme de confiance, s’occupant surtout de la partie commerciale. Il faut croire que Mme Lefort était satisfaite de la gestion d’Edmond Laporte car, dès 1862 elle ajoute, en sa faveur, un codicille à son testament par lequel elle «  lui donne et lègue pendant sa vie la jouissance purement personnelle de la maison qu’il habite avec les dépendances. » Et, le 3 août 1870, elle lui vend cette maison pour 100 000 francs.

Après le décès de Mme Lefort en 1877, Edmond Laporte se retrouve sans emploi et sans ressources. Il entre à l’inspection du travail en 1879. Inspecteur à Nevers puis à Paris, il conserve sa maison de la Sente des Palis où il revient pendant les vacances et où il s’installe définitivement à sa retraite en 1905 mais, gravement malade, il décède le 7 octobre 1906.

Le 2 mars 1937, Madame Marie Laporte et son fils vendent la propriété à la PEC pour 120 000 F. Le 24 juin 1968, elle passe à APC qui absorbe la PEC ce jour-là.

Le 30/12/1992 la commune en fait l’acquisition pour installer l'IME “Les Montées" et confie la gestion au CCAS. L'établissement devient autonome en 1993.

Par acte notarié du 27/12/2004, chez Maître Bouju, à Grand-Couronne, le CCAS vend à l’IME le bien situé 1 rue des Palis.

 

Répertoriée à l’inventaire du patrimoine elle est ainsi décrite : «  La maison est en retrait par rapport à la rue. Elle est construite en assises alternées de brique rouge et blanche. L'avant-corps central d'une travée est surmonté d'un pignon. Elle a un étage carré et un étage de comble en surcroît, le rez-de-chaussée est surélevé. La toiture à longs pans en ardoise est soulignée de lambrequins, Le pignon central est flanqué de deux lucarnes-pignons. La corniche est soulignée d'une frise à motif géométrique en brique rouge et ocre. On retrouve ce même décor au niveau du bandeau central. Une large marquise protège le perron et la porte d'entrée. »

Edmond Laporte n’a pas été seulement l’occupant de cette maison et le directeur de l’usine de tulles. Il a été conseiller municipal à Grand-Couronne, conseiller général du canton de 1874 à 1898 ; à ce titre il a fait acheter et restaurer par le département la maison des champs de Pierre Corneille, devenue musée. Inspecteur du travail, il a œuvré pour l’amélioration des conditions de travail dans les manufactures et notamment de celles des enfants. Passionné de littérature, il a noué d’étroites relations d’amitié  avec Flaubert, il l’a accompagné dans plusieurs de ses voyages et l’a reçu dans cette maison.

Aussi, à la Société d’Histoire, nous souhaiterions que cette maison soit préservée.

 

                                                                                                                      Thérèse Boulanger

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Troisième tome de l'histoire contemporaine de Grand-Couronne : 1939-1947 par Gérard Gillard

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Troisième tome de l'histoire contemporaine de Grand-Couronne : 1939-1947 par Gérard Gillard
Troisième tome de l'histoire contemporaine de Grand-Couronne : 1939-1947 par Gérard Gillard
Troisième tome de l'histoire contemporaine de Grand-Couronne : 1939-1947 par Gérard Gillard
Troisième tome de l'histoire contemporaine de Grand-Couronne : 1939-1947 par Gérard Gillard
Troisième tome de l'histoire contemporaine de Grand-Couronne : 1939-1947 par Gérard Gillard

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LES ESSARTS

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Un hameau paysan tardivement rattaché à Grand-Couronne

L’origine des hameaux du Grand et Petit Essart remonte au XIIIe et XIVe siècle. Ils sont intégrés à la Forêt Royale du Rouvray. À l’époque, ils sont rattachés à la commune de Petit Couronne et constitués de masures. En 1657 le Roi vend une partie des bois par adjudication au sieur Degaumont sur une superficie de trois cents arpents, soit l’équivalent de cent deux hectares. Les bois sont défrichés et la maison des Essarts, devenue Château Saint Antoine de Padoue, est élevée. Apparaissent ensuite un grand colombier, une chapelle, une grange, des étables en pierre de taille et briques, ainsi que tous les bâtiments nécessaires à une exploitation.

Suivent de grandes voies de communication, l’avenue des Poiriers, l’avenue des Oulmes, l’avenue du Mail (actuelle rue du Général Blanchard). La ferme de Sasson, sise rue du Paradis, appartient au seigneur. Le 14 janvier 1704, à la mort de Degaumont, le Sieur Ledanoys de Tourville devient propriétaire du château Saint Antoine et de ses terres. En 1762, les habitants des deux hameaux n’avaient encore acquis aucune possession. En 1811, Les Essarts connaissent un accroissement considérable, le Petit Essart grâce aux concessions de terres faites par les seigneurs du château. Les hameaux sont alors composés d’environ deux cents feux.

 

En 1839, le Sieur Jules Ledanoys de Tourville, Conseiller au Parlement, intente un procès contre la commune de Petit Couronne. Selon lui, elle s’est approprié les chemins qui lui appartiennent au Petit Essart. La commune est pauvre, le procès coûte cher. Mais elle s’engage dans ce procès dans l’intérêt des habitants qui empruntent ces voies depuis des temps immémoriaux. Le 31 janvier 1842, le maire de Petit Couronne réunit les membres du conseil municipal et les plus forts contribuables. Il a reçu une requête des habitants des hameaux du Petit et du Grand Essart qui réclament leur rattachement à Grand Couronne. Le maire rappelle l’intérêt qu’il porte aux bons habitants des Essarts avec lesquels la bonne harmonie n’a jamais cessé d’exister et considère cette demande comme un acte d’ingratitude au regard des frais occasionnés par le procès. D'autant que la commune de Grand Couronne, également interpellée sur cette affaire, a repoussé presque à l’unanimité la demande des Essartais. Pourtant, Petit Couronne perd son procès le 22 février 1844, et (coïncidence ?) le 19 juillet 1844, les hameaux du Grand Essart et du Petit Essart sont distraits de la commune de Petit Couronne et réunis à la commune de Grand Couronne par ordonnance royale de Louis Philippe.

Les Essartais ne sont pas les bienvenus à Grand Couronne. Le maire de l’époque rappelle au préfet, dans un courrier du 11 octobre 1850, que les hameaux lui ont été imposés. Le premier à en faire les frais, c’est l’instituteur, M Tariel, homme dévoué auprès des élèves essartais depuis vingt-cinq ans. Il fait classe chez lui et, en 1850, il enseigne à soixante élèves, dont dix-huit gratuits. Mais le traitement de deux cents francs voulu par la Loi lui est refusé pendant deux ans par le conseil municipal. Lettre Mairie Rappelé à l’ordre par le préfet, le maire stipule que « les habitants des Essarts ne peuvent se plaindre », car l’instituteur reçoit une indemnité de logement, les pauvres bénéficient d’un soutien, les chemins vicinaux sont entretenus et un garde champêtre est rétribué pour les deux hameaux.

Plus tard, M. Ternisien, propriétaire de la ferme sise allée de la mare aux chênes, fait don de 3200 m2 pour la construction de l'église Saint Antoine de Padoue qui verra le jour en 1863. Église A la même époque, M. Tariel, l’instituteur, résilie ses fonctions vu son âge. Mais il refuse de louer son logement à la ville et soumet au conseil municipal le besoin d’investir dans une maison d’école. M. Ternisien vend une parcelle pour la construction de la maison d’école. Elle se tiendra juste à côté de l’église, « un avantage certain !» et ouvrira ses portes en 1868. École Essarts En 1896, M. Pimont, propriétaire du château Saint Antoine, fait construire une école privée de filles à l’angle de la rue du Général Blanchard.

 

Les belles villas du Grand Essart peuvent alors apparaître. Le hameau devient un lieu de villégiature pour les notables des environs.

 

 

 

 

 

Jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale l’activité des Essarts reste essentiellement agricole.

 

Les techniques et le matériel ont évolué.

 

Les anciens bâtiments de fermes, rénovés, sont aujourd'hui de coquettes habitations

dont les propriétaires ont su conserver l'architecture et les matériaux d'origine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci aux habitants des Essarts qui nous ont gentiment ouvert leurs portes et leurs archives ainsi qu’au personnel de la médiathèque Boris Vian. Le plan cadastral date de 1844. Si vous avez des informations, documents, archives sur Les Essarts susceptibles de compléter notre documentation veuillez prendre contact avec la Société d’Histoire de Grand Couronne. Vous pouvez aussi appeler Annick Mainot au 06 11 74 59 74. Merci.

Tous les documents seront étudiés et rendus à leurs propriétaires.

Cette exposition a été présentée au cours de la fête des associations, septembre 2019

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