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80ième anniversaire de la Libération.

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80ième anniversaire de la Libération.

A Grand Couronne nous commémorerons le Bombardement du 24 juin1944. Une exposition sera présentée en mairie à la date anniversaire par la Société d’histoire.

Nous faisons appel aux témoins et à leur famille. Nous cherchons des documents, des souvenirs, des récits, des objets, et des photos...

Nous cherchons plus particulièrement des photos de famille, d’avant-guerre ou des mois précédents, des victimes que nous souhaitons honorer.

Puis nous travaillerons sur les mois de juillet et août et la Libération de la ville par les Canadiens le 30 août 1944.

 Société d’Histoire de Grand-Couronne

36 rue Clémenceau

Espace Daniel Carmon – Place Aimé Césaire

Permanence le vendredi de 15h à 18h

stehistoire.grandcouronne@orange.fr

http://www.societe-histoire-grand-couronne.fr

02 35 67 93 34

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Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne

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Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne
Gustave CAILLE naturaliste et astronome du Coki Petite chronique d’un début de siècle à Grand-Couronne

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Souscription : GRAND-COURONNE PENDANT LA RÉVOLUTION FRANÇAISE de René Lefebvre

Publié le par societe-histoire-grand-couronne.over-blog.fr

GRAND-COURONNE PENDANT LA RÉVOLUTION FRANÇAISE de René Lefebvre

En 1989, à Grand-Couronne comme partout en France, on commémorait le bicentenaire de la Révolution française qui avait fait des sujets du roi des citoyens de la nation, avait proclamé la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen et fait de la formule de Robespierre : Liberté, Égalité, Fraternité la devise qui figure depuis sur la façade des mairies. René Lefebvre faisait alors d’importantes recherches dans les archives afin de connaître comment les “Couronniers” ont vécu ce bouleversement de la société française entre les années 1788 et 1800 et comment ils se sont adaptés à cette mutation. Dans cet ouvrage il nous fait partager « la vie réelle et charnue du gros millier de gens qui font le tout de la population de Grand-Couronne » pendant cette période. Que de transformations, en effet, en peu de temps ! La paroisse devient une commune du département de la Seine-Inférieure ; elle dépend du canton d’Elbeuf, lui-même intégré dans le district de Rouen. C’est du district que viendront la plupart des directives de l’État. Un conseil municipal élu par les citoyens “actifs” remplace l’assemblée paroissiale ; l’État civil succède aux registres paroissiaux ; on instaure le calendrier républicain. En 1792, on proclame la République. En 1793, Grand-Couronne devient “La Réunion” et Petit Couronne, “La Fraternité”. On danse autour de l’arbre de la liberté, on arbore la cocarde et on pavoise les maisons avec le drapeau tricolore lors des nombreuses fêtes révolutionnaires. Les deux seigneurs, titulaires d’un fief dans la paroisse, Hayet et Pommeraye, perdent leurs privilèges. Le curé, Caumont est remplacé par son vicaire, Tounache, qui prête serment à la Constitution civile du clergé et se révèle un farouche jacobin. Et que de difficultés à résoudre en cette période, la principale étant le ravitaillement de la population auquel s’ajoute le poids de la guerre avec le départ des jeunes sous les drapeaux, les réquisitions et les fournitures à l’armée, le logement des troupes de passage. Tout ceci doit être géré par la commune dans la stricte observance des instructions du gouvernement révolutionnaire et sous la pression de la Société populaire et du Comité de surveillance locaux. Après le 9 Thermidor, beaucoup des changements opérés depuis le début de la Révolution sont remis en question, on revient sur ce que l’on appelle les “excès” de la Convention, le personnel municipal est épuré. Une nouvelle constitution suivie d’élections met en place un régime nouveau, le Directoire, qui durera jusqu’en novembre 1799. Les Couronniers durent faire preuve d’une grande faculté d’adaptation pour vivre tous ces changements. C’est ce que décrit l’ouvrage de René Lefebvre. Ce n’est que peu de temps avant sa disparition qu’il a décidé de le publier et remis le manuscrit à la Société d’Histoire. Il n’a pu en suivre la transcription et la mise en page qu’au tout début et nous avons dû choisir les illustrations qu’il n’avait pas eu le temps de collecter.

1 Expression employée par l’historien Claude Mazauric qui a relu l’ouvrage.

René LEFEBVRE (1932-2011) Chevalier dans l’Ordre des Palmes Académiques

Né à Croisy-sur-Andelle (27), le 5 mars 1932, professeur agrégé d’Histoire et de Géographie. Après son diplôme d’instituteur obtenu à l’Ecole Normale de Rouen, c’est dans les écoles de Grand-Couronne qu’il enseigne, jusqu’en 1963.À cette époque, il entreprend des études de géographie auprès des Universités de Caen et de Rouen et il obtient une Maîtrise, puis l’agrégation en 1968.Il enseigne alors au Lycée André Maurois d’Elbeuf

(76), jusqu’à sa retraite, en 1992.Parallèlement, René Lefebvre prend activement part à la vie de la Commune de Grand-Couronne (76), dans laquelle il réside. Élu au conseil municipal de 1965 à 1983, il est adjoint au Maire de Grand-Couronne, Jean Salen, en charge, à partir de 1973, des Affaires scolaires. Il crée le Bulletin Municipal de Grand-Couronne et s’implique dans le jumelage notamment avec la ville de Velten (ex-RDA). En 1963 et 1964, il participe au jeu télévisé « L’Homme du XXe siècle » dont il sera l’un des six finalistes. En 1989, il participe à l’Association « AV.E.C » (AVancées Etudes Couronnaises), fondée à l’initiative de Jean Salen pour contribuer à la vie municipale de sa Commune. Il anime les manifestations du bicentenaire de la Révolution française à Grand-Couronne. En 1991, il crée l’Association « d’Etudes de l’Histoire et du Patrimoine de Grand-Couronne » dont il sera le Président et l’animateur pendant 20 ans. Atteint d’une grave maladie qui réduira sa mobilité, il poursuit néanmoins son activité d’historien jusqu’à son décès, le 4 Août 2011. C’est avec cette Association devenue « Société d’Histoire de Grand-Couronne » (SHGC), qu’il est coauteur des ouvrages sur « L’Histoire des Églises de Grand-Couronne » paru en 1993, du « Frais et charmant village de Grand-Couronne » paru en 1997. Il est également l’auteur de la brochure « 120 ans de Chemin de Fer à Grand-Couronne » parue en 2004. Il contribue, en outre, par ses recherches et ses notes, à l’élaboration du livre « Quand le village devient ville » publié en 2013. Avant sa disparition, René Lefebvre confie à la SHGC, un manuscrit concernant la Révolution Française vécue à Grand-Couronne qui fait l’objet du présent ouvrage. Étroitement liée à son mari, Liliane, son épouse, est décédée quelques semaines après lui.

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EXPOSITION :

Publié le par societe-histoire-grand-couronne.over-blog.fr

   EXPOSITION

 

 

Parce que les révolutionnaires ont combattu pour les

valeurs que nous valorisons encore de nos jours

LIBERTÉ – ÉGALITÉ-FRATERNITÉ

  En prélude à la parution du livre « GRAND-COURONNE PENDANT LA RÉVOLUTION » d’après le manuscrit de René LEFEBVRE, la Société d’Histoire de Grand-Couronne réalise une exposition qui se tiendra :

Du 8 juin au 1er juillet 2017

à la MÉDIATHÈQUE BORIS VIAN

5 rue Georges Clémenceau

GRAND-COURONNE

 

La souscription au livre qui paraîtra vers le 18 novembre 2017 sera émise lors de cet événement.

NB : nous renouvelons l’appel fait aux habitants de Grand-Couronne pour obtenir des documents lors de la période du bicentenaire de la Révolution, notamment sur les participations divers autours de ces réjouissances qui se sont déroulées en 1989.

Tous les documents sont à adressés à la Société d’Histoire, ils seront scannés et rendus à leur propriétaire. Merci.

Société d’Histoire de Grand-Couronne 36 place Aimé Césaire.

Permanence tous les vendredis de 14h30 à 18 heures

Courriel : stehistoire.grandcouronn@orange.fr Site : société-histoire-Grand-Couronne

 

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Dernier ouvrage : les Corholm

Publié le par societe-histoire-grand-couronne.over-blog.fr

La Société d’Histoire de Grand-Couronne présentera, en présence de l’auteur,

Samedi 8 octobre à 15 heures

à la médiathèque B. Vian

son dernier ouvrage :

LES CORHOLM

Groupe laïque, folklorique et artistique de GRAND-COURONNE   (1965-2015)

Cinquante ans d’animation culturelle, d’éducation populaire, de sociabilité juvénile

 

Dernier ouvrage : les Corholm

L’auteur, Olivier Douard, membre de la Société d’Histoire et des Corholm depuis sa création, a retracé dans ce livre le parcours de cette association : ses origines, ses activités artistiques (danse folklorique, danse moderne, théâtre, groupe vocal, orchestre) qui animent la vie de la commune depuis cinquante ans.

Par les liens que Les Corholm ont tissés avec les autres associations, par leur participation aux manifestations de la commune, par le nombre de leurs participants, leur histoire participe à l’histoire culturelle de Grand-Couronne.

L’histoire des Corholm, c’est aussi celle de la jeunesse d’après-guerre qui exprime le besoin de se rencontrer, de s’exprimer, de se manifester ; une jeunesse curieuse d’autres cultures qu’elle découvre dans les folklores et dans les musiques étrangères, de l’évolution artistique en France et dans le monde ; une jeunesse soucieuse de transmettre ces richesses en organisant de nombreux spectacles et représentations.

Olivier Douard étant sociologue et particulièrement intéressé par les questions concernant la jeunesse et le monde associatif, c’est dans ce cadre plus général de l’éducation populaire qu’il a situé son travail, d’où le sous titre « 50 ans d’animation socio-culturelle, d’éducation populaire et de sociabilité juvénile ».

Les nombreux souscripteurs pourront donc prendre possession de l’ouvrage qu’ils ont réservé. Pour ceux qui ne pourraient venir le 8 octobre, la Société d’Histoire tiendra une permanence la semaine suivante du lundi au vendredi, de 14 h à 18 heures, dans son local : Espace Daniel Carmon –Place Aimé Césaire (près de l’Avant-Scène).

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Les Corholm - 50 ans

Publié le par societe-histoire-grand-couronne.over-blog.fr

Les Corholm

 Qui ne connaît pas Les Corholm à Grand-Couronne, soit pour avoir participé à ses activités, soit pour avoir assisté à un ou plusieurs de ses nombreux spectacles et manifestations ?

L’association est née en 1966 à l’époque où, dans la ville reconstruite, les usines ayant repris leur activité, la population, malgré les tensions internationales, aspire à la paix, aux loisirs et aux vacances. Les jeunes, en particulier, éprouvent le besoin de se rencontrer, de bouger, de se manifester. Ils se retrouvent dans différents groupes : Amicale des employés municipaux, Amicale laïque, Auberges de Jeunesse, Foyer de Jeunes, encadrés par des adultes conscients de leurs besoins. Les Corholm est né de la convergence de ces apports.

Ces initiatives rencontrent le soutien important et concret de la municipalité de Grand-Couronne. Lors des élections de 1965, le programme de la liste conduite par Jean Salen en fait une priorité.

« Groupe folklorique et artistique ». La première activité proposée par les Corholm fut l’initiation à la danse folklorique : elle permettait de fédérer des publics différents et c’était la spécialité de l’animateur G. Labitte. Le groupe s’est ensuite diversifié : danse moderne, groupe vocal, théâtre, formation d’un orchestre sont venus compléter la discipline initiale, véritable “colonne vertébrale” des Corholm, et toujours pratiquée. La diversité de l’offre culturelle a séduit de nombreux jeunes qu’attirait aussi le plaisir de se montrer, de se produire en public lors des nombreuses représentations du groupe. Celui-ci a compté jusqu’à une centaine d’adhérents et a donné certaines années une vingtaine de représentations, se produisant aussi en dehors de Grand-Couronne.

Les Corholm fête aujourd’hui ses cinquante ans d’activité. Comment s’explique une telle longévité ? D’abord parce que, « groupe laïque », chacun pouvait y trouver sa place, quelles que soient ses convictions, dans un esprit de fraternité et de camaraderie. Ensuite, parce qu’il a su s’insérer dans le tissu associatif de la commune et s’adapter à l’évolution du public.

L’auteur, Olivier Douard, membre de la Société d’Histoire de Grand-Couronne et des Corholm dès sa création, était particulièrement qualifié pour en retracer le parcours. S’appuyant sur une importante documentation, il présente ici un véritable travail d’historien. Mais c’est aussi en sociologue particulièrement intéressé par les questions concernant la jeunesse, le monde associatif et la culture populaire qu’il a mené cette étude.

Cet ouvrage ne s’adresse pas seulement aux membres des Corholm en ravivant leurs souvenirs, mais à tous ceux qui s’intéressent au passé de la ville, à son évolution car il parcourt « 50 ans d’animation socio culturelle, d’éducation populaire et de sociabilité juvénile ».

 Thérèse Boulanger

Présidente de la Société d’Histoire de Grand-Couronne

Les Corholm - 50 ans
Les Corholm - 50 ans

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GRAND-COURONNE 1914-1939 Quand le village devient ville

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Suite du “Frais et charmant village de Grand-Couronne” paru en 1997, ce deuxième volume s’ouvre sur un premier drame, la guerre 1914-1918. Comme tous les villages de France, Grand-Couronne a payé un lourd tribut à la victoire et contribué à l’effort de guerre : la Seine est parcourue d’un intense trafic destiné aux troupes anglaises, Renault y implante une aciérie pour fabriquer le blindage de ses chars. Il s’achève à l’aube du deuxième conflit mondial.  

 

livre-shgDans cet entre-deux-guerres le village connaît une spectaculaire transformation. L’aciérie disparaît mais deux usines la remplacent : SONOPA et PEC, 2 000 emplois sont créés, 3 000 si l’on inclut la raffinerie JUPITER toute proche. Quais, grues, portiques, transbordeurs s’installent le long du fleuve. Ruraux de Bretagne et de Normandie, étrangers affluent pour y travailler.

 

Le village devient un bourg industriel. Les entreprises édifient des cités pour loger les nouveaux venus, la municipalité s’efforce de répondre à leurs besoins : électrification, adduction d’eau, stade, construction de nouvelles classes, développement de l’assistance et de la protection sociale.

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Catalogue de l'exposition Xavier Boutigny

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a

Ce catalogue est en vente auprès de l'association.

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Histoire des églises de Grand-Couronne

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Histoire des églises de Grand-Couronne

 

ÉGLISE723 [Résolution de l'écran]Édition Bertout "La mémoire Normande"  - 1993

190 pages, broché, au format 15x21.

Épuisé

Cet ouvrage constitue la première publication de la Société d’Histoire de Grand-Couronne. C’est le fruit d’un travail collectif mené par une dizaine de personnes qui ont participé au dépouillement exhaustif des archives communales, d’une part importante des archives départementales et d’autres sources variées. La rédaction définitive a été assurée par Charles Schneider président d’honneur de la société, René Lefebvre, président, et André Guérard, vice-président et curé doyen de Grand-Couronne.

Il ne s’agit nullement d’une histoire religieuse de la commune, mais de celle des lieux de culte qui y subsistent : églises Saint-Martin, Saint-Antoine-de-Padoue, chapelle Saint-Antoine. Y sont également évoqués des édifices disparus.

Sommaire

Histoire de l’église Saint-Martin
Les origines chrétiennes de Corholm : du paganisme gallo-romain à saint Louis. (par Charles Schneider)
Une pérennité de sept siècles. (par René Lefebvre)

L’église Saint-Martin actuelle
(par André Guérard)

Les autres églises de Grand-Couronne
(par René Lefebvre)

Les bâtiments de culte disparus 
(par René Lefebvre)

Les prêtres de Grand-couronne
(par René Lefebvre et André Guérard)

 

Le groupe saint Martin

 

Saint Martin042Ce groupe exécuté. en pierre de Vernon (très dure) daterait du temps d’Henri II (XVIe siècle). Le “pauvre” a disparu à une date inconnue.

La facture du modelé du visage donne la quasi certitude qu’il s’agit du portrait du seigneur donateur (ce qui est fréquent à cette époque). D’autre part le blason est une indication précise : il représente un chevron d’or encadrant une tête de louve sur fond de gueule. Les notations du costume et du harnachement sont d’une précision exceptionnelle. L’épée plus ample que le fourreau marque symboliquement l’ampleur du partage. La majesté du cheval, en figure de parade, met en évidence la noblesse du geste.

La polychromie primitive, retrouvée sous huit couches de peinture, fait de cette œuvre un document de première grandeur. Il est inscrit à l’inventaire départemental.


 

Philippe le Bel

 

Philippe_Le_bel043--Resolution-de-l-ecran-.jpgParmi les vitraux du chœur celui-ci évoque les visites de Philippe IV le Bel, roi de France de 1825 à 1312, à Grand-Couronne.

L’inscription au bas du vitrail :

“PHILm IV HUC QUATER VENISSE LEGITUR
AB 1290 AD 1312”

Ce vitrail fut offert en mémoire de M. Alphonse-Augustin Duclos

 

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120 ans de chemin de fer à Grand-Couronne

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120 ans de chemin de fer à Grand-Couronne


 

chemin de fer [Résolution de l'écran]

 

 Éditions “Société d’Histoire de Grand-Couronne”  - 2003
190 pages, broché, au format 22x30.
Prix 6 €

 

La physionomie d’une ville porte les traces de son passé. Le connaître, c’est comprendre comment elle a évolué, comment se sont opérées les mutations successives de son économie, de son urbanisation, des activités et des mentalités de sa population pour aboutir à la situation actuelle.

Si un événement a profondément marqué l’aspect de Grand-Couronne et modelé le comportement de ses habitants, c’est bien la construction de la ligne de chemin de fer dont l’histoire et l’impact sont ici retracés.


  La gare au début du XXe siècle

 

gare137 Carte postale.
La gare est actuellement transformée en habitations par une société d’HLM.

 

 

 bonjour 

 

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