Le frais et charmant village de Grand-Couronne
Le frais et charmant village de Grand-Couronne
Éditions “Société d’Histoire de Grand-Couronne” - 1997
190 pages, cartonné, au format 22x30.
Prix 27 €
Le titre de cet ouvrage n’est nullement provocateur. Il y a moins de cent ans, Grand-Couronne ne se différenciait guère des villages voisins si ce n’est par le rôle de chef-lieu de canton. C’était alors une commune agricole , un petit bourg pris entre de vastes prairies bordant la Seine et les champs sur les pentes, séparé par la forêt du languissant hameau des Essarts où les citadins venaient le dimanche ou en été goûter aux joies de la nature ou se régénérer au grand air.
La Société d’Histoire présente l’analyse d’un groupe humain au moment où il vit les dernières années de sa vocation rurale, où de grands bouleversements se préparent, qui vont être accélérés par la première guerre mondiale. Elle essaie de faire partager une manière de vivre qui paraît bien loin de la ville d’aujourd’hui.
Une très abondante illustration (plus de 200 documents) tirée de collections de cartes postales anciennes, de photos prises au tournant du siècle par des amateurs curieux, nous plonge au cœur d’une époque où l’on se baignait encore dans la Seine, où les piétons circulaient sans crainte au milieu de la rue, où le travail manuel employait la majeure partie des Couronnais.
Sommaire
Les rues
L’habitat
Le travail
Grand-Couronne chef-lieu administratif
Manifestations collectives et loisirs individuels
Économie domestique et populaire
Personnalités
Les textes sont de : Thérèse Boulanger, Pascal Creoff, Olivier Douard, Séverine Flahaut
et René Lefebvre.
La mairie de Grand-Couronne
Carte postale envoyée en 1905.
La mairie a été détruite lors du bombardement de juin 1944.
La Grand’Rue